Sur cette page, un article d'archive du magazine "Publi Choc"
paru le 1er février 1995 qui traitait d'un cas d'"erreur
médicale" précédent du Docteur A, orthopédiste.
L'affaire se passait en 1992 avec pour prévenu le même
Dr A. (en charge de François à son admission en
clinique le 20 février 2007), et ce, toujours dans le même
établissement hospitalier namurois. Cet article est signé
Pierre Guelff, et il fut publié bien avant le passage de
l'affaire en chambre du conseil en 1997.
L'issue de cette audience en Chambre du Conseil fut, comme on
le sait maintenant, pour le Dr A., après la reconnaissance explicite
de sa faute par le tribunal, un verdict de culpabilité
assorti d'une suspension du prononcé.
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Cet article met en lumière la gravité et la persistance
des manquements du Docteur A. envers une patiente de 82 ans au
moment des faits.
Malgré ces évidences, le docteur A. bénéficiera
finalement de la suspension du prononcé de la peine, en
chambre du conseil. Cette faveur est accordée pour empêcher
toute publicité qui aurait pour conséquence de détourner
la patientèle du Docteur A. vers d’autres médecins.
En clair, la justice choisit de protéger le médecin
au détriment des patients qui continueront à confier
leur vie à ce médecin, dans l’ignorance du
danger encouru. François a payé de sa vie cette
fleur faite à l'orthopédiste A. au détriment
de la protection de la société.
Les parents de François sont bien conscients que la mesure
de suspension du prononcé existe et peut se justifier dans
certains cas. Pas lorsque les manquements du condamné révèlent
un profond mépris pour la vie d’autrui.
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