Sur cette page, un article d'archive du journal "En marche"
(journal de la mutualité chrétienne) paru le 1er
février 1996 qui traitait d'un cas d'erreur médicale
précédent du Docteur A, orthopédiste. L'affaire
se passait en 1992 avec pour prévenu le même Dr A.
(en charge de François à son admission en clinique
le 20 février 2007), et ce, toujours dans le même
établissement hospitalier namurois. Cet article est signé
Christian Van Rompaey, et il fut publié bien avant le passage
de l'affaire en chambre du conseil en 1997.
L'issue de cette audience en Chambre du Conseil fut, comme on
le sait maintenant, pour le Dr A., après la reconnaissance explicite
de sa faute par le tribunal, un verdict de culpabilité
assorti d'une suspension du prononcé.
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Cet article du journal de la mutualité chrétienne
met en évidence l'énorme fossé entre une
erreur, une faute ou un manquement ponctuels et le comportement
du Docteur A. qui, après avoir commis une faute, laisse
volontairement sa patiente, pendant 7 mois, dans d'horribles souffrances
et en danger de mort, par refus de reconnaître sa faute.
Face à de tels comportements, indignes d'un médecin
et qui ne pouvaient que faire craindre le pire pour ses futurs
patients, la passivité de l'Ordre des médecins et
la clémence de la Justice sont incompréhensibles.
En effet, le Docteur A. a pu poursuivre ses activités médicales
et la Justice lui a accordé la suspension du prononcé,
en chambre du conseil, sans aucun débat public, précisément
pour empêcher que les patients ne soient avertis et puissent
se protéger en choisissant éventuellement un autre
médecin. Le but a été atteint. Au final,
on peut penser que François en est vraisemblablement mort
!
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